Back in the 1960s Vox issued three boxes of three LPs comprising the last 18 of Mozart's solo piano piano concertos. They were played by a variety of conductors and orchestras with various pianists, some of whom later became household names - such as Alfred Brendel and Ingrid Haebler. The records were at budget price, in mono; the performances were quite good but the sound quality varied from mediocre to poor. Haebler went on to record a further complete set of the concertos for Philips in 1965, with the LSO under three very eminent conductors - Alceo Galliera, Witold Rowicki and Colin Davis - and they included the two- and three-piano concertos. Of course, this was far better sonically and the performances, to my ear, are superb.
In between these two sets, dating from 1962, comes the this present one, from DGG, which I bought many years ago on LP. This time there is only one orchestra and soloist throughout - the Camerata Accademica of the Salzburg Mozarteum with Geza Anda.
Here we have the benefit of excellent sound recording and limpid pianism, perfectly nuanced and balanced with the orchestra; a sheer delight throughout.
Since then, there have been many complete sets of Mozart piano concertos, many boasting world-class soloists, crystal-clear digital sound, period orchestras and period pianos too. This set will certainly not appeal to out-and-out devotees of 'historically informed' performances or state-of-the-art digital recording, But for me, the warmth of the acoustic and Anda's modesty and gentle touch are just right and for less than £1 per concerto this has to be an unmissable bargain.
Image Unavailable
-
-
-
- Sorry, this item is not available in
- Image not available
- To view this video download Flash Player
Mozart Piano Concertos
ANDA CAMERATA DES SALZBURGER MOZARTEUMS
(Artist),
MOZART,WOFGANG AMADEUS
(Composer),
CAMERATA DES SALZBURGER MOZARTEUMS
(Composer)
&
0
more Format: Audio CD
$72.02$72.02
See all formats and editions
Hide other formats and editions
Amazon Price | New from | Used from |
Audio CD, Audiobook, Box set, 14 May 2002
"Please retry" | $72.02 | $72.02 | — |
Enhance your purchase
Passionate about music?
Shop the best music documentaries of all time
Customers who viewed this item also viewed
Page 1 of 1 Start overPage 1 of 1
- Mozart: The Great Piano Concertos, Vol.1Alfred Brendel Academy of St. Martin in the Fields Neville MarrinerAudio CD
Product description
DGG 4695102; DEUTSCHE GRAMMOPHON - Germania; Classica Orchestrale per Piano
Product details
- Is Discontinued By Manufacturer : No
- Product dimensions : 13.49 x 13.31 x 2.31 cm; 242.1 Grams
- Manufacturer : DEUTSCHE GRAMMOPHON
- Item Model Number : 028946951026
- Original Release Date : 2002
- SPARS Code : ADD
- Label : DEUTSCHE GRAMMOPHON
- ASIN : B00004YZ36
- Number of discs : 8
- Best Sellers Rank: 48,518 in Music (See Top 100 in Music)
- 559 in Concertos
- 657 in Solo Instrumental
- 1,254 in Chamber Music
- Customer Reviews:
Customer reviews
4.8 out of 5 stars
4.8 out of 5
95 global ratings
How are ratings calculated?
To calculate the overall star rating and percentage breakdown by star, we don’t use a simple average. Instead, our system considers things like how recent a review is and if the reviewer bought the item on Amazon. It also analyses reviews to verify trustworthiness.
Top reviews from other countries

HerbieG
5.0 out of 5 stars
Superb - highly recommended
Reviewed in the United Kingdom on 21 September 2016Verified Purchase
12 people found this helpful
Report abuse

P. Watkins
5.0 out of 5 stars
The tempi are a little faster than the excellent Mitsuko Uchida set
Reviewed in the United Kingdom on 21 November 2016Verified Purchase
A superb Mozart disc. The tempi are a little faster than the excellent Mitsuko Uchida set, but that lends them a brisk freshness and fluidity which I suspect is closer to what the composer intended. I can't see anything wrong with the recording quality either, so this comes highly recommended.
6 people found this helpful
Report abuse

Franck BERNARD
5.0 out of 5 stars
Une des meilleures intégrale des concertos pour piano de Mozart
Reviewed in France on 16 November 2016Verified Purchase
Je ne veux pas raconter ma vie. Mais, les concertos 18 et 20 de cette intégrale (en vinyle !) ont été ma découverte de la musique dite classique et surtout de Mozart, il y aura bientôt 30 ans. Et puis, j'ai grandi, j'ai appris la musique, ai découvert les versions de Perahia, Billsom, Zacharias, Schiff, etc. Et j'ai donc oublié mon premier coup de cœur. Je suis devenu un intégriste (et "intégraliste") des versions chambristes, ou mieux sur instruments d'époque (ou historiquement informés pour les puristes). Et j'ai découvert que l'intégrale des mes 2 premier concertos existait en CD, à petit prix. Et là, quel choc ! Alors oui, l'orchestre est très (trop ?) vert et pas toujours bien ensemble (même si cela est plus vrai pour les cordes, que pour les vents que je trouve d'une justesse de ton et de jeunesse magistrales), mais quelle vie, quelle jeunesse, et surtout quelle modernité pour une intégrale de 50 ans. Si l'on compare à l'intégrale de Barenboïm de la même époque, elle la surclasse largement. Voilà la première version chambriste de ces concertos, avec des interprètes qui avaient finalement 30 ans d'avance sur les premières interprétations historiquement informées. Je recommande à 300 %.
Suite...
Nous voilà environ deux semaines après ma première écoute, et mon premier commentaire. Comme je suis un perfectionniste avant de dire n'importe quoi, j'en suis à ma 4ème écoute de cette intégrale. Et je la recommande encore plus (malgré les défauts déjà évoqués, mais comme dirait l'autre, le tout est supérieur à la somme des parties). Je suis vraiment de plus en plus bluffé par la modernité de cette intégrale de 50 ans. Quelle justesse dans l'agogique. Il y a 50 ans, un interprète livrait du Mozart réfléchi, intemporel, dont les tempos était déjà "justes" (des allégros pas trop rapides, et des andantes pas trop lents, bref pas du Rossini mal digéré). Et surtout, quoi qu'on en dise, une prise de son intelligente d'orchestre de chambre, et non pas gonflée et trop réverbérée comme celle de l'English Chamber de Perahia (que j’adore néanmoins, même si bien que plus récente, elle a paradoxalement bien plus vieilli). Mon rêve serait que DG la remasterise de façon vraiment optimale. Maintenant, vu le prix, je recommande à 400 % pour celles ou ceux qui veulent découvrir les concerti (je me lâche enfin sur l'italien) de ce cher Wolfgang.
Suite...
Nous voilà environ deux semaines après ma première écoute, et mon premier commentaire. Comme je suis un perfectionniste avant de dire n'importe quoi, j'en suis à ma 4ème écoute de cette intégrale. Et je la recommande encore plus (malgré les défauts déjà évoqués, mais comme dirait l'autre, le tout est supérieur à la somme des parties). Je suis vraiment de plus en plus bluffé par la modernité de cette intégrale de 50 ans. Quelle justesse dans l'agogique. Il y a 50 ans, un interprète livrait du Mozart réfléchi, intemporel, dont les tempos était déjà "justes" (des allégros pas trop rapides, et des andantes pas trop lents, bref pas du Rossini mal digéré). Et surtout, quoi qu'on en dise, une prise de son intelligente d'orchestre de chambre, et non pas gonflée et trop réverbérée comme celle de l'English Chamber de Perahia (que j’adore néanmoins, même si bien que plus récente, elle a paradoxalement bien plus vieilli). Mon rêve serait que DG la remasterise de façon vraiment optimale. Maintenant, vu le prix, je recommande à 400 % pour celles ou ceux qui veulent découvrir les concerti (je me lâche enfin sur l'italien) de ce cher Wolfgang.

Pèire Cotó
5.0 out of 5 stars
Spontanéité et réflexion
Reviewed in France on 3 March 2018Verified Purchase
Je commence par un aspect superficiel. Deutsche Grammophon a choisi de publier cette intégrale avec le moins de CDs possible, ce qui est économiquement (et écologiquement !) rationnel. Et comme il n'y a pas les concertos pour deux et trois pianos (je précise que Anda avait enregistré chez EMI celui pour 2 pianos avec Clara Haskil), l'ensemble tient en 8 disques très bien remplis, record difficile à battre. Les concertos sont dans l'ordre, sauf dans certains cas où il a fallu mettre un concerto plus court pour que ça rentre, mais le concerto manquant sera dans le disque suivant. C'est donc très commode, d'autant que les étuis renseignent sur le contenu. En plus, on a ajouté un des cinq premiers concertos là où on a pu les mettre, certes dans le désordre, mais ces pages qui ne sont pas les plus passionnantes musicalement profitent du sillage des autres, alors qu'on ne les aurait pas écouté souvent si elles avaient été regroupées sur un CD particulier. Je ne vois que des avantages à ce qui était au départ une contrainte.
J'ai déjà commenté un disque extrait de cette intégrale Mozart : Concertos pour piano n° 6, 17 et 21 , qui comprend les deux concertos enregistrés en 1961, auxquels on a ajouté un concerto enregistré en 1962. Ce que j'en disais est dans l'ensemble valable pour l'intégrale entière.
Cette intégrale me semble la plus complète, la plus riche et équilibrée de toutes les intégrales que je connais. Géza Anda a mis près d'une dizaine d'années pour l'enregistrer (1961-1969) et lui et l'éditeur ont eu raison. On devine de la part du pianiste, qui est aussi le chef de la Camerata Academica du Mozarteum de Salzbourg, une réflexion approfondie sur le caractère de chaque concerto et de chaque mouvement, mais tout cela est tellement bien intégré qu'il n'y paraît que de la spontanéité. Il y a quelque chose de très moderne dans cette approche naturelle, où le surmoi et les habitudes se font oublier; cet homme né en 1921 a tout à fait l'esprit des baby boomers, ce qui est unique. Anda ne confond généralement pas le tempo des andantes avec celui des adagios, comme on ne le faisait encore un peu trop à l'époque, encore que certains mouvements soient pris particulièrement lentement, parce que sans doute ça lui convenait ainsi, et d'ailleurs ça fonctionne (mais ça fonctionnerait mieux avec un tempo plus rapide). Inversement, le 25e aurait gagné en majesté avec un tempo plus lent. Par moments, son interprétation semble annoncer ce que feront les baroqueux. Cette modernité est globalement une affaire d'esprit, d'attitude. Je pense au premier mouvement du 20e concerto, où chaque chef essaie normalement d'accentuer la tension dramatique. Anda ne fait rien de tout cela, il respire, il prend la musique comme elle vient et le drame vient (ou ne vient pas). Le plus souvent, l'observateur attentif comprend que ce qui semble venir sans idée préconçue dissimule une stratégie très étudiée.
Géza Anda est-il formellement un pianiste aussi brillant et solaire que Brendel, que Pollini, que Barenboim, que Zacharias ou que Michelangeli, qui tous ont brillé dans Mozart, et ailleurs ? Peut-être pas, encore qu'il s'en approche. Mais tout son discours retient l'attention, il a quelque chose à dire partout et ça fait la différence avec beaucoup d'interprètes. On devine de sa part beaucoup d'intériorité et pourtant il est capable de jouer et de diriger les finales les plus joyeux, légers et insouciants qui soient. La partie d'orchestre est aussi splendide que celle de piano, bien que la Camerata Academica des Salzburger Mozarteums ne soit pas en elle-même un des meilleurs ensembles du monde, résultat probable de longues répétitions et d'une longue fréquentation mutuelle. Enfin, il se dégage de ces interprétations quelque chose d'aérien qui est ce qui convient dans Mozart. Il y a dans l'ensemble une autre caractéristique de cette intégrale, en rapport avec la précédente, c'est la place donnée aux vents qui ne sont pas écrasés par le poids des cordes. C'est très contemporain et c'est aussi quelque chose que je préfère. Mais « chacun à son goût ».
J'ai déjà commenté un disque extrait de cette intégrale Mozart : Concertos pour piano n° 6, 17 et 21 , qui comprend les deux concertos enregistrés en 1961, auxquels on a ajouté un concerto enregistré en 1962. Ce que j'en disais est dans l'ensemble valable pour l'intégrale entière.
Cette intégrale me semble la plus complète, la plus riche et équilibrée de toutes les intégrales que je connais. Géza Anda a mis près d'une dizaine d'années pour l'enregistrer (1961-1969) et lui et l'éditeur ont eu raison. On devine de la part du pianiste, qui est aussi le chef de la Camerata Academica du Mozarteum de Salzbourg, une réflexion approfondie sur le caractère de chaque concerto et de chaque mouvement, mais tout cela est tellement bien intégré qu'il n'y paraît que de la spontanéité. Il y a quelque chose de très moderne dans cette approche naturelle, où le surmoi et les habitudes se font oublier; cet homme né en 1921 a tout à fait l'esprit des baby boomers, ce qui est unique. Anda ne confond généralement pas le tempo des andantes avec celui des adagios, comme on ne le faisait encore un peu trop à l'époque, encore que certains mouvements soient pris particulièrement lentement, parce que sans doute ça lui convenait ainsi, et d'ailleurs ça fonctionne (mais ça fonctionnerait mieux avec un tempo plus rapide). Inversement, le 25e aurait gagné en majesté avec un tempo plus lent. Par moments, son interprétation semble annoncer ce que feront les baroqueux. Cette modernité est globalement une affaire d'esprit, d'attitude. Je pense au premier mouvement du 20e concerto, où chaque chef essaie normalement d'accentuer la tension dramatique. Anda ne fait rien de tout cela, il respire, il prend la musique comme elle vient et le drame vient (ou ne vient pas). Le plus souvent, l'observateur attentif comprend que ce qui semble venir sans idée préconçue dissimule une stratégie très étudiée.
Géza Anda est-il formellement un pianiste aussi brillant et solaire que Brendel, que Pollini, que Barenboim, que Zacharias ou que Michelangeli, qui tous ont brillé dans Mozart, et ailleurs ? Peut-être pas, encore qu'il s'en approche. Mais tout son discours retient l'attention, il a quelque chose à dire partout et ça fait la différence avec beaucoup d'interprètes. On devine de sa part beaucoup d'intériorité et pourtant il est capable de jouer et de diriger les finales les plus joyeux, légers et insouciants qui soient. La partie d'orchestre est aussi splendide que celle de piano, bien que la Camerata Academica des Salzburger Mozarteums ne soit pas en elle-même un des meilleurs ensembles du monde, résultat probable de longues répétitions et d'une longue fréquentation mutuelle. Enfin, il se dégage de ces interprétations quelque chose d'aérien qui est ce qui convient dans Mozart. Il y a dans l'ensemble une autre caractéristique de cette intégrale, en rapport avec la précédente, c'est la place donnée aux vents qui ne sont pas écrasés par le poids des cordes. C'est très contemporain et c'est aussi quelque chose que je préfère. Mais « chacun à son goût ».

Emmanuel
1.0 out of 5 stars
Schöne Aufnahmen, aber:
Reviewed in Germany on 3 April 2021Verified Purchase
Diese Bewertung gilt NICHT dem Kauf, sondern den Lieferumständen:
Was soll man sagen, wenn in einer Box voller toller Aufnahmen von Mozart Klavierkonzerten mit Geza Anda die CD 2 nicht vorhanden ist? Die Hülle ist zwar da, aber in der Hülle eine fremde CD, die nichts mit der Serie zu tun hat, schön abgegriffen. Ich kann die Box als Geschenk nicht verwenden, was ursprünglich der Gedanke war. Das ist natürlich einfach eine Schlamperei - aber wie soll man das lösen, ohne das Paket noch einmal kaufen zu müssen?
Was soll man sagen, wenn in einer Box voller toller Aufnahmen von Mozart Klavierkonzerten mit Geza Anda die CD 2 nicht vorhanden ist? Die Hülle ist zwar da, aber in der Hülle eine fremde CD, die nichts mit der Serie zu tun hat, schön abgegriffen. Ich kann die Box als Geschenk nicht verwenden, was ursprünglich der Gedanke war. Das ist natürlich einfach eine Schlamperei - aber wie soll man das lösen, ohne das Paket noch einmal kaufen zu müssen?