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Mozart Symphonies Nos.35 36 38 41
KARAJAN BERLIN PHILHARMONIC ORCH
(Artist),
MOZART,WOFGANG AMADEUS
(Composer),
KARAJAN,HERBERT VON
(Composer),
BERLIN PHILHARMONIC ORCH
(Composer)
&
1
more Format: Audio CD
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Amazon Price | New from | Used from |
Audio CD, Audiobook, CD, 15 July 1997
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Product description
CD
Product details
- Is Discontinued By Manufacturer : No
- Product dimensions : 16.21 x 14.4 x 0.99 cm; 117.93 Grams
- Manufacturer : DEUTSCHE GRAMMOPHON
- Item Model Number : 028945304625
- Original Release Date : 1997
- SPARS Code : ADD
- Label : DEUTSCHE GRAMMOPHON
- ASIN : B000001GY8
- Country of origin : USA
- Number of discs : 2
- Best Sellers Rank: 32,863 in Music (See Top 100 in Music)
- 537 in Symphonies
- Customer Reviews:
Customer reviews
4.7 out of 5 stars
4.7 out of 5
82 global ratings
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Top reviews from other countries

Dr. John Stanley
1.0 out of 5 stars
One Star
Reviewed in the United Kingdom on 3 March 2018Verified Purchase
Product arrived on time but CD1 has a defect & is unplayable. Disappointing quality control.
One person found this helpful
Report abuse

Tom Kennish
5.0 out of 5 stars
Don`t knock the rock
Reviewed in the United Kingdom on 9 May 2015Verified Purchase
Rock solid performances from Karajan that make for great listening .
One person found this helpful
Report abuse

Dr. Rudolf MÜLLER
4.0 out of 5 stars
Karajan und Mozart - alt aber gut
Reviewed in Germany on 21 July 2014Verified Purchase
Die Aufnahme Karajans der späten Mozart Symphonien mit den Berlinern ist von der legendären schön ausgestatteten dunkelblauen Plattenkassette der DG zwar zu einer lilafarbenen Doppel CD etwas heruntergekommen, das ändert aber nichts an der Qualität der Aufnahmen . Mozart in Karajanscher Perfektion der zweiten Hälfte der Siebzigerjahre, damals ein schriller Kontrapunkt zu Karl Böhms etwas gemächlicherer Gangart in seiner Gesamteinspielung mit den Wienern. Mag auch eine mittlerweile wissenschaftlich fundierte Mozartinterpretation der letzten dreissig Jahre von Harnoncourt über Sandor Vegh bis Ivar Bolton darüber hinweggegangen sein, interessant sind diese wie aus einem Guss anmutenden Aufnahmen allemal auch heute noch.

grenache
5.0 out of 5 stars
SOMPTUEUX, SONORITE EPOUSTOUFLANTE;
Reviewed in France on 28 October 2015Verified Purchase
Pour faire bref, deux groupes d’interprétations de ces dernières symphonies sont proposées aujourd’hui à l’auditeur :
Le premier, se rattache à une lecture de tendance baroque (Harnoncout, Pinnock parmi d’autres) et fait appel notamment à des orchestres réduits, à des phrasés et des attaques incisifs, une rythmique appuyée, des percussions sèches. Cette option privilégie une grande transparence et un discours alerte au détriment sans doute d’une certaine profondeur .
Le second groupe (Krips, Böhm, Karajan), présente des interprétations plus traditionnelles : Masses orchestrales plus importantes, sonorité et phrasé très onctueux notamment.
Ces deux options me semblent davantage complémentaires que contradictoires et chacune d’entre-elles offrira à l’auditeur bien des joies.
Le présent enregistrement des dernières symphonies enregistré entre 1976 et 1977 est le second réalisé par le tandem Karajan / Berlin. Il est dans l’ensemble incontestablement plus réussi que la première mouture de 1970 (EMI) : L’orchestre moins épais que dans la précédente version, sonne à la fois très clair, rond et puissant, s’appuyant sur des basses profondes mais jamais envahissantes. On retrouve Berlin à son zenith. Moins lourd que Böhm (pourtant avec le même orchestre), le discours est ici plus vif, les articulations plus tendues et resserrées tout en privilégiant (c’est Karajan) un legato constant et une fusion de l’ensemble des pupitres. Version qui se place aux côtés de celle, légendaire, de Krips avec le Concertgebouw d’Amsterdam. C’est somptueux.
J’ajoute à tout cela une prise de son superlative, revalorisée par un remastering « Original-bit-processing ».
Le premier, se rattache à une lecture de tendance baroque (Harnoncout, Pinnock parmi d’autres) et fait appel notamment à des orchestres réduits, à des phrasés et des attaques incisifs, une rythmique appuyée, des percussions sèches. Cette option privilégie une grande transparence et un discours alerte au détriment sans doute d’une certaine profondeur .
Le second groupe (Krips, Böhm, Karajan), présente des interprétations plus traditionnelles : Masses orchestrales plus importantes, sonorité et phrasé très onctueux notamment.
Ces deux options me semblent davantage complémentaires que contradictoires et chacune d’entre-elles offrira à l’auditeur bien des joies.
Le présent enregistrement des dernières symphonies enregistré entre 1976 et 1977 est le second réalisé par le tandem Karajan / Berlin. Il est dans l’ensemble incontestablement plus réussi que la première mouture de 1970 (EMI) : L’orchestre moins épais que dans la précédente version, sonne à la fois très clair, rond et puissant, s’appuyant sur des basses profondes mais jamais envahissantes. On retrouve Berlin à son zenith. Moins lourd que Böhm (pourtant avec le même orchestre), le discours est ici plus vif, les articulations plus tendues et resserrées tout en privilégiant (c’est Karajan) un legato constant et une fusion de l’ensemble des pupitres. Version qui se place aux côtés de celle, légendaire, de Krips avec le Concertgebouw d’Amsterdam. C’est somptueux.
J’ajoute à tout cela une prise de son superlative, revalorisée par un remastering « Original-bit-processing ».

cacoton
5.0 out of 5 stars
PLUS QUE RECOMMANDABLE !
Reviewed in France on 14 October 2017Verified Purchase
Voilà une interprétation vigoureuse,dense et sonore,avec pour une fois,un orchestre important,tel que Mozart aurait aimé l'entendre (on a pris depuis fort longtemps la détestable habitude de jouer Mozart avec des effectifs squelettiques ) .Ici,on a une plénitude sonore rendant bien justice aux mille trouvailles tant harmoniques qu'orchestrales dont l'auteur a émaillé ces superbes partitions.
Un petit regret cependant concernant la prise de son : on a trop de différence entre des "piano" assez faibles et des "forte" proches de la violence .Les cordes,notamment, et surtout les violons,manquent légèrement de corps par rapport aux "soufflants" qui les submergent parfois,rendant diifficilement perceptibles certains de leurs dessins. Dommage car l'ensemble est magnifique.
Un petit regret cependant concernant la prise de son : on a trop de différence entre des "piano" assez faibles et des "forte" proches de la violence .Les cordes,notamment, et surtout les violons,manquent légèrement de corps par rapport aux "soufflants" qui les submergent parfois,rendant diifficilement perceptibles certains de leurs dessins. Dommage car l'ensemble est magnifique.